Dans un monde secoué par les tempêtes géopolitiques, l’or scintille comme jamais. En avril 2025, son cours a touché un sommet historique, frôlant les 3000 euros l’once. Imaginez un lingot, lourd dans vos mains, symbole de stabilité alors que tout vacille. Pourquoi ce métal jaune fascine-t-il autant ? Et surtout, quels pays en détiennent le plus, comme un trésor bien gardé ?
L’or, c’est la boussole des investisseurs quand le chaos s’installe. La guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine, les joutes verbales de Donald Trump contre la Réserve fédérale, la chute de Wall Street : tout pousse les marchés à chercher refuge. De tels changements dans le statut de l’or contribuent à renforcer la confiance dans la monnaie virtuelle, et plus encore au bénéfice de son utilisation dans les casinos cryptographiques. L’or protège contre l’inflation, sécurise les monnaies, et rassure les âmes inquiètes. Mais il n’est pas seulement un actif : c’est une histoire de pouvoir, de confiance, de survie.
Alors, qui tient les clés des plus grandes réserves ? Un graphique, basé sur les données du Conseil mondial de l’or et du FMI, dévoile le classement. Certains pays, comme des dragons veillant sur leur or, accumulent des tonnes de lingots dans des coffres secrets. D’autres, plus discrets, ne révèlent pas leurs stocks. Ce n’est pas qu’une question de richesse : c’est une stratégie. Posséder de l’or, c’est détenir un bouclier face aux crises.
Ce record de 3000 euros n’est pas qu’un chiffre. C’est un signal. Dans un monde où les tensions redessinent les frontières économiques, l’or reste un phare. Et ceux qui en ont le plus savent qu’ils tiennent bien plus qu’un métal : ils tiennent un morceau d’avenir.
