Silence, on tue. La vague de violence qui s’est emparée du Sénégal n’est que trop inquiétante. Des cas de meurtres qui font froid dans le dos et qui justifie une réaction urbi et orbi des citoyens, qui ont naturellement soif de sécurité. Cela devient une urgence extrême à telle enseigne que le Conseil présidentiel annoncé en août parait trop éloigné. Il faut agir. En fast track. Mais sans émotion coupable. Car l’émotion n’est, malgré tout, pas la solution face à la criminalité galopante nous dit MIK dans sa chronique de ce vendredi.