Les villes côtières africaines, de Lagos à Dakar, sont en alerte alors que la montée des eaux menace des millions d’habitants, exacerbée par le réchauffement climatique. À Abidjan, des quartiers entiers sont inondés chaque saison des pluies, tandis que le Sénégal voit ses plages de Saly s’éroder à un rythme alarmant. Les experts estiment que sans action, 50 millions d’Africains pourraient être déplacés d’ici 2050. Des projets comme les digues intelligentes au Ghana et les mangroves restaurées au Mozambique offrent des espoirs, mais le financement reste un obstacle. La diaspora sénégalaise, forte de plus de 533 000 membres selon les chiffres de 2013, suit ces enjeux via les réseaux sociaux, plaidant pour des solutions globales. Avec la blockchain traçant les fonds climatiques, l’urgence d’agir unit science et solidarité internationale.
Les impacts du changement climatique sur les villes côtières africaines sont de plus en plus visibles et inquiétants. Le phénomène de l’élévation du niveau de la mer n’est pas seulement un enjeu environnemental, mais un véritable défi social et économique. Les populations vulnérables, notamment dans des villes comme Abidjan, Dakar et Lagos, subissent des inondations de plus en plus fréquentes, menaçant leur sécurité et leurs moyens de subsistance. Bien que des solutions innovantes existent, comme les digues intelligentes et la restauration des mangroves, elles nécessitent des financements à grande échelle. Le rôle de la diaspora et des technologies comme la blockchain pourrait être crucial pour mobiliser des fonds et garantir une action concertée avant qu’il ne soit trop tard.