Ainsi, M. Senghor reste convaincu que la pluviométrie qui a été déficitaire dans le nord du pays, a rendu la situation actuelle très difficile. Et, qu’aucun résultat, souligne-t-il ne peut être donné avant le travail d’analyse des experts.
Ainsi, M. Senghor reste convaincu que la pluviométrie qui a été déficitaire dans le nord du pays, a rendu la situation actuelle très difficile. Et, qu’aucun résultat, souligne-t-il ne peut être donné avant le travail d’analyse des experts.
Selon lui, ce phénomène prend plus d’ampleur dans le nord du pays. » on est sûr que du fait de la pluviométrie qui est déficitaire dans le nord du pays, Matam, Kanel, Podor et Ranérou sont les plus exposés. Les gens n’ont pas pu récolter à cause de pauses importantes de pluies».
Toutefois, Jean-Pierre Senghor assure que l’Etat et ses partenaires techniques sont «en alerte».