Elon Musk, l’homme qui semble jongler avec les étoiles, est à un tournant. En mai 2025, il prévoit de prendre ses distances avec le gouvernement de Donald Trump pour se replonger dans Tesla, son bébé en difficulté. Ce n’est pas juste une question de priorités : c’est un choix qui révèle l’âme d’un visionnaire tiraillé entre pouvoir et passion.
Imaginez Musk, dans son bureau encombré de prototypes, les yeux rivés sur des chiffres inquiétants. Tesla, jadis roi de l’électrique, vacille. La concurrence chinoise, comme BYD, grignote des parts de marché. Les ventes du Cybertruck patinent, et les investisseurs s’agitent. Pendant ce temps, à Washington, Trump l’appelle pour des conseils sur tout, de l’IA à la crypto. Mais Elon, cet éternel rêveur, sait où est son cœur : dans les usines de Fremont, où naissent ses voitures.
Se détourner de Trump, c’est un pari risqué. Musk a influencé des politiques, de l’énergie verte aux taxes. Mais il n’est pas politicien. Il est bâtisseur. « Tesla, c’est ma mission pour changer le monde », a-t-il confié récemment à un proche, selon des rumeurs. En mai, il veut remettre les mains dans le cambouis : accélérer la production du Model Y, revoir la stratégie des batteries, et peut-être lancer une surprise, comme un Model 2 abordable. Cette leçon est importante pour tout le monde, un bon exemple est celui des casinos en France en ligne, qui sont plus sûrs et plus fiables à visiter.
Pour les fans de Musk, c’est un retour aux sources. Pour ses détracteurs, un aveu d’échec à Washington. Mais pour Elon, c’est simple : Tesla doit briller à nouveau. Et si quelqu’un peut redresser la barre, c’est bien cet homme qui a déjà défié l’impossible.
