En 2004, dans le désert d’Arabie Saoudite, la compagnie Aramco spécialisée dans le pétrole et le gaz, a découvert des squelettes géants d’apparence humaine ! Ce sont celles du peuple Aad dont on parle dans le Coran.
Les Saoudiens pensent qu’il s’agit là des restes du peuple d’Aad, des géants anciens dont on parle dans le Coran.
La zone a été sécurisée par l’armée Saoudienne et l’information aurait dû rester secrète, mais ces photos ont pu filtrer sur Internet.





D’après les photos, les squelettes mesureraient environ 20 mètres de longueur !
Leur capitale qu’on a longtemps cru être un mythe s’appelait « UBAR ou » Les tours d’ IRAM ».
Au début des années 1990, furent publiés dans plusieurs journaux connus, des articles annonçant « la découverte de la cité arabe disparue », « la découverte de la cité arabe légendaire », « l’Atlantis des sables, Ubar ». Ce qui rendit cette découverte encore plus curieuse est que cette cité est mentionnée également dans le Coran. Nombreux furent ceux, qui auparavant pensaient que le peuple d ‘Aad évoqué dans le Coran était purement mythique et que leur cité ne serait jamais trouvée. Dès lors, ils ne purent dissimuler leur étonnement face à cette fabuleuse découverte.

Dès le début de cette recherche, on comprit que les restes de cette cité appartenaient au peuple de Aad. La concordance devint incontestable à partir du moment où, parmi les restes découverts, on mit au jour les vestiges de colonnes et tours d’Iram mentionnées de façon précise dans le Coran. L’un des responsables des fouilles, le Dr Juris Zarins, déclara qu’étant donné que les tours sont l’un des signes distinctifs d’Ubar et qu’Iram est mentionnée comme abritant des tours et des piliers, ces indices si particuliers, suffisent à prouver que le site déterré n’est autre que celui d’Iram, la cité des Aad décrite dans le Coran.
De nombreux monuments et ouvrages d’art témoignant de la présence d’une haute civilisation ont été autrefois érigés à Ubar, en concordance avec les faits évoqués dans le Coran. Ci-dessus, ce qu’il en reste de nos jours.
Ainsi, on a pu montrer que les habitants de cette région utilisaient un système d’irrigation hautement développé, qui ne servait probablement qu’à l’agriculture. Dans ces régions, en effet, les gens cultivaient autrefois la terre.
Les photos satellites ont également révélé l’ancienne existence d’un vaste système de canaux et de barrages utilisés pour l’irrigation autour de Ramlat et Sab’atayan, dont on estime qu’il a pu faire vivre plus de 200.000 personnes dans l’ensemble de ces cités.

Mais la preuve la plus éloquente de l’ensevelissement des ‘Ad par une tempête de sable est l’emploi du terme « ahqaf » dans le Coran pour localiser l’endroit où vivait ce peuple. La description utilisée dans le verset 21 de la sourate al-Ahqaf est la suivante:
« Et rappelle-toi le frère des ‘Ad quand il avertit son peuple à Al-Ahqaf, alors qu’avant et après lui des avertisseurs sont passés, en disant: « N’adorez qu’Allah. Je crains pour vous le châtiment d’un jour terrible. »
Le mot « ahqaf » signifie « dunes de sable » en arabe, et c’est le pluriel de « hiqf » qui signifie « une dune de sable ». Ceci permet d’affirmer que les ‘Ad vivaient dans une région où abondaient les dunes de sable, ce qui explique le recouvrement de leur cité par autant de sable.

Je crois Allah mais une de vos photo est douteuse